La crise actuelle a au moins le mérite de mettre à mal le dogme libéral du libre échange. En effet, il a fallu une pandémie pour prendre conscience que des frontières sont nécessaires pour préserver le bien commun. Dans la foulée, se voient réhabilitées les communautés naturelles protectrices que sont l’État et la famille, non seulement contre l’invasion virale, mais plus largement contre l’épidémie migratoire et contre le cancer moderne
