À part quelques bobos, le pseudo-modèle de l’artiste révolté — qu’on nous impose à grand renfort de coûteuses campagnes médiatiques —, n’abuse plus grand monde. En effet, pour exister, un Ronsard n’a pas besoin de « briser des tabous », il ne sent pas obligé de faire du laid et encore moins du scatologique. Dans ce poème, et suivant la longue tradition des « miroirs de prince »*, le poète dessine le portrait du
