Libres propos de Hitler sur le christianisme

Libres propos de Hitler sur le christianisme Les papes Pie XI et Pie XII répondent à Hitler

Dans son Mein Kampf datant de 1925, Hitler ne peut livrer toute sa pensée, car il n’a pas encore conquis le pouvoir, néanmoins certains passages sont déjà très hostiles au christianisme. Une fois à la tête de l’Allemagne, il organise une persécution telle qu’en 1937, le pape Pie XI et le cardinal Pacelli (le futur Pie XII) dénoncent le nazisme dans l’encyclique Mit Brennender Sorge. Peu après, la véritable pensée du Führer s’exprime dans les Libres Propos sur la Guerre et la Paix (1941-1944). D’aucuns prétendent que ces propos ont été déformés par le haut dignitaire nazi Martin Borman, pourtant ils correspondent exactement aux positions condamnées dans l’encyclique précitée. [La Rédaction]

Bibliographie

Brève bibliographie :
– Adolf Hitler, Mein Kampf, Nouvelles éditions latines, Paris, 1979.
– Adolf Hitler, Libres Propos sur la Guerre et la Paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann (noté par la suite LPGP), coll. Le temps présent, Flammarion, tome 1 (1952), tome 2 (1954), traduction François Genou.
– Pie XI et le cardinal Pacelli (le futur Pie XII1), Mit Brennender Sorge (Avec une brûlante inquiétude), 10 mars 1937.

Hitler juge le Christianisme

Le christianisme non plus n’a pas pu se contenter d’élever ses propres autels, il lui fallait procéder à la destruction des autels païens. Seule, cette intolérance fanatique devait créer la foi apodictique ; elle en était une condition première absolue.

On peut objecter, à juste titre, que ces deux précédents historiques sont spécifiquement juifs — et même que ce genre d’intolérance et de fanatisme sont foncièrement juifs. Ceci peut être mille fois vrai et on peut aussi le déplorer profondément ; on peut constater, avec une inquiétude qui n’est que trop justifiée, que l’apparition de cette doctrine dans l’histoire de l’humanité y introduisait quelque chose que l’on ne connaissait pas encore ; mais cela ne sert de rien et il s’agit maintenant d’un état de fait. Les hommes qui veulent sortir notre peuple allemand de sa situation actuelle, n’ont pas à se casser la tête pour imaginer combien ce serait beau si telle ou telle chose n’existait pas ; ils doivent rechercher et déterminer comment en peut supprimer ce qui en fait est donné. Mais une doctrine pleine de la plus infernale intolérance ne sera brisée que par la doctrine qui lui opposera le même esprit, qui luttera avec la même âpre volonté et qui, par surcroît, portera en elle-même une pensée nouvelle pure et absolument conforme à la vérité.

Chacun peut aujourd’hui constater à regret que, dans le monde antique, beaucoup plus libre que le nôtre, le christianisme a introduit avec lui la première terreur spirituelle ; mais il ne peut rien au fait que, depuis cette époque, le monde vit sous le signe et sous la domination de cette contrainte. Et on ne brise la contrainte que par la contrainte, la terreur par la terreur. C’est alors seulement que l’on peut instituer un nouveau régime.
Hitler, Mein Kampf, Nouvelles éditions latines, Paris, 1979, p.452.

Le coup le plus dur qui ait frappé l’humanité, c’est l’avènement du christianisme.
Hitler (Nuit du 11 au 12 juillet 1941), LPGP, T1, p.7-8.

Le christianisme constitue la pire des régressions que put subir l’humanité.
Hitler (Nuit du 21 au 21 février 1942), LPGP, T1, p.312.

Si le monde antique a été si pur, si léger, si serein, c’est parce qu’il a ignoré ces deux fléaux : la vérole et le christianisme.
Hitler (19 octobre 1941, dans la nuit), LPGP, T1, p.75-76.

Le christianisme est insupportable quand il défend les faibles :

Du fait de la lutte, les élites se renouvellent constamment. La loi de sélection justifie cette lutte incessante en vue de permettre aux meilleurs de survivre. Le christianisme est une rébellion contre la loi naturelle, une protestation contre la nature. Poussé à sa logique extrême, le christianisme signifierait la culture systématique du déchet humain.
Hitler (10 octobre 1941, midi), LPGP, T1, p.51.

Le christianisme est insupportable quand il affirme que Dieu est la source de la vérité et de l’amour :

[…] le christianisme montre l’exemple. Quoi de plus fanatique, de plus exclusif et de plus intolérant que cette religion qui rapporte tout à l’amour du seul Dieu qu’elle révèle ?
Hitler (4 avril 1942, midi), LPGP, T2, p.39.

Heureusement, le national-socialisme est venu libérer la jeunesse et lui enseigner la vérité :

Nous veillerons à ce que les Églises ne puissent plus répandre des enseignements en contradiction avec l’intérêt de l’État. Nous continuerons à affirmer la doctrine nationale-socialiste, et la jeunesse n’entendra plus que la vérité.
Hitler (14 octobre 1941, midi), LPGP, T1, p.62.

Le christianisme serait ennemi de la beauté :

Il arrive à la musique ce qui arrive à la beauté dans un monde dominé par la prêtraille — la religion chrétienne est ennemie de la beauté.
Hitler (Nuit du 21 au 21 février 1942), LPGP, T1, p.314.

Le christianisme a commis le crime d’empêcher la domination du monde par des Germains islamisés :

Le christianisme a retardé de mille ans l’épanouissement du monde germanique.
Hitler (21 octobre 1941, midi), LPGP, T1, p.78.

La civilisation a été l’un des éléments constitutifs de la puissance de l’Empire romain. Ce fut aussi le cas en Espagne, sous la domination des Arabes. La civilisation atteignit là un degré qu’elle a rarement atteint. Vraiment une époque d’humanisme intégral, où régna le plus pur esprit chevaleresque. L’intrusion du christianisme a amené le triomphe de la barbarie. L’esprit chevaleresque des Castillans est en réalité un héritage des Arabes. Si à Poitiers Charles Martel avait été battu, la face du monde eût changé. Puisque le monde était déjà voué à l’influence judaïque (et son produit, le christianisme, est une chose si fade !) il eût beaucoup mieux valu que le mahométisme triomphât. Cette religion récompense l’héroïsme, elle promet aux guerriers les joies du septième ciel… Animé d’un tel esprit, les Germains eussent conquis le monde. C’est le christianisme qui les en a empêchés.
Hitler (28 août 1942, midi), LPGP, T2, p.297.

Le christianisme est une maladie mentale :

Mais le christianisme est une invention de cerveaux malades.
Hitler (13 décembre 1941, midi), LPGP, T1, p.141.

[…] l’Église catholique a choisi des déments pour en faire des saints.
Hitler (5 juin 1942, midi), LPGP, T2, p.149.

La fin du christianisme doit permettre l’avènement d’une ère de tolérance :

Notre époque verra sans doute la fin de la maladie chrétienne […] Nous entrons dans une conception du monde, qui sera une ère ensoleillée, une ère de tolérance.
Hitler (27 février 1942, midi), LPGP, T1, p.332.

Le monde vit en ce moment l’une des révolutions les plus importantes de l’histoire humaine. Nous assistons aux derniers soubresauts du christianisme. Cela a commencé avec la révolution luthérienne.
Hitler (26 février 1942, midi), LPGP, T1, p.325.

Jésus selon Hitler

Il est certain que Jésus n’était pas juif. Les Juifs d’ailleurs le traitaient en fils de putain — le fils d’une putain et d’un soldat romain.
Hitler (21 octobre 1941, midi), LPGP, T1, p.76.

Quel besoin avons-nous d’une fable inventée par les Juifs ? En quoi l’histoire de quelques Juifs pouilleux et épileptiques pourrait-elle nous concerner ?
Hitler (11 août 1942, le soir), LPGP, T2, p.257.

Hitler contre le clergé catholique

L’Église catholique est fortement impliquée dans la résistance au nazisme :

L’Église catholique n’a qu’un seul désir, c’est notre effondrement.
Hitler (11 août 1942, le soir), LPGP, T2, p.257

[…] la principale activité des curés consiste à saper la politique nationale-socialiste.
Hitler (7 avril 1942, pendant le dîner), LPGP, T2, p.51.

Attendons la fin de la guerre, et un terme sera mis au Concordat. Je me réserve le plaisir de rappeler moi-même à l’Église les nombreux cas où elle l’a violé. Qu’on songe, par exemple, à la collusion de l’Église avec les meurtriers de Heydrich. Non seulement des prêtres leur ont permis de se cacher dans une église de la banlieue de Prague. Mais ils leur ont permis de se terrer dans le sanctuaire de cette église.
Hitler (4 juillet 1942, pendant le dîner), LPGP, T2, p.189.

L’Église catholique gêne aussi Mussolini :

Le Duce m’a dit à Venise, en 1934 : « Un jour viendra où le Pape devra quitter l’Italie, car il n’y a pas place pour deux maîtres. »
Hitler (1er août 1942, le soir), LPGP, T2 p.238-239.

Hitler voue aux prêtres une haine féroce depuis son jeune âge :

À part quelques culs bénis, je puis dire qu’aucun de mes camarades ne croyait plus au miracle de l’eucharistie. La seule différence avec aujourd’hui, c’est qu’à l’époque j’étais persuadé qu’il fallait faire sauter tout cela à la dynamite.
Hitler (Nuit du 20 au 21 février 1942), LPGP, T1 p.314.

La calotte ! Le simple fait d’apercevoir un de ces avortons en soutane me met hors de moi.
Hitler (Nuit du 20 au 21 février 1942), LPGP, T1, p.311.

[…] si je devais mourir aujourd’hui, cela me choquerait de savoir qu’il se trouve un seul cureton dans un rayon de dix kilomètres autour de moi. L’idée qu’un de ces êtres pourrait m’apporter le moindre secours me ferait à elle seule désespérer de la Providence.
Hitler (27 février 1942, midi), LPGP, T1, p.332.

De terribles persécutions menacent désormais les prêtres :

Si le danger n’avait pas existé que le péril rouge submergeât l’Europe, je n’eusse pas contrecarré la révolution en Espagne. Le clergé eût été exterminé.
Hitler (Nuit du 19 au 20 février 1942), LPGP, T1, p.310.

Après cette guerre, je prendrai les mesures nécessaires pour rendre extraordinairement difficile le recrutement des prêtres.
Hitler (7 avril 1942, pendant le dîner), LPGP, T2, p.52.

Le mal qui nous ronge, ce sont nos prêtres des deux confessions […] Toujours est-il qu’en présence de leurs manœuvres j’ai été amené à prendre ma décision. Ils n’ont qu’à bien se tenir, ils auront de mes nouvelles. Je ne me laisserai pas arrêter par des scrupules d’ordre juridique. Seule la nécessité a force de loi. Avant 10 ans d’ici, tout aura pris une autre allure, je puis le leur promettre.
Hitler (8 février 1942, midi), LPGP, T1, p.294,

Pour ne pas me rendre complice du mensonge, j’ai tenu la prêtraille à l’écart du Parti. Je ne crains pas la lutte. Elle aura lieu, si vraiment il faut en arriver là. Et je m’y déterminerai aussitôt que cela me paraîtra possible.
Hitler (Nuit du 25 au 26 janvier 1942), LPGP, T1, p.243.

Les papes Pie XI et Pie XII répondent à Hitler

Sur la banalisation et le détournement du nom de Dieu

Si je puis admettre un commandement divin, c’est celui-ci : « Il faut conserver l’espèce ». La vie individuelle ne doit pas être estimée à un prix trop élevé.
Hitler (1er-2 décembre 1941), LPGP, T1, p.139.

L’homme a découvert dans la nature la notion merveilleuse de cette toute puissance dont il adore la loi. Au fond de chaque être, il y a le sentiment de cette toute puissance, à laquelle nous donnons le nom de Dieu (à savoir la domination des lois naturelles de l’univers).
Hitler (11-12 juilet 1941), LPGP, T1, p.6.

Le Pape dans Mit Brennender Sorge :
Prenez garde, Vénérables Frères, à l’abus croissant, dans la parole comme dans les écrits, qui consiste à employer le nom de Dieu trois fois saint comme une étiquette vide de sens que l’on place sur n’importe quelle création, plus ou moins arbitraire, de la spéculation et du désir humain.

Agissez sur vos fidèles, afin qu’ils soient attentifs à opposer à une telle aberration le refus qu’elle mérite.

Notre Dieu est le Dieu personnel, surnaturel, tout-puissant, infiniment parfait, unique dans la Trinité des Personnes, et tripersonnel dans l’unité de l’Essence divine, le Créateur de tout ce qui existe, le Seigneur et Roi et l’ultime consommateur de l’histoire du monde, qui n’admet ni ne peut admettre à côté de lui aucun autre dieu.

Sur le Christ

Jésus n’était sûrement pas un Juif. Les Juifs, en effet, n’eussent pas livré l’un des leurs à la justice romaine. Ils l’eussent condamné eux-mêmes. Vraisemblablement vivaient en Galilée de nombreux descendants de légionnaires romains, notamment des Gaulois. Jésus devait être l’un des leurs. Il n’est pas exclu en revanche que sa mère fut juive. Jésus lutta contre le matérialisme corrupteur de son époque, et donc contre les Juifs.
Hitler (29-30 juillet 1944), LPGP, T2, p.346.

Le Christ était un Aryen, et Saint-Paul s’est servi de sa doctrine pour mobiliser la pègre et organiser ainsi un prébolchevisme. Cette intrusion dans le monde marque la fin d’un long règne, celui du clair génie gréco-latin.
Hitler (13 décembre 1941), LPGP, T1, p.140-141.

Le Pape dans Mit Brennender Sorge :
Aucune foi en Dieu ne peut se maintenir longtemps pure et sans alliage si elle n’est soutenue par la foi au Christ.
« Personne ne connaît le Fils si ce n’est le Père, et personne ne connaît le Père si ce n’est le Fils, et celui à qui le Fils voudra le révéler. » (Luc, X, 22.)

La croix du Christ objet de scandale

Il est certain que l’Athénien, lorsqu’il pénétrait dans le Parthénon pour contempler l’image de Jupiter, devait avoir une autre impression que celle du chrétien qui doit se résigner à contempler le visage grimaçant d’un crucifié.
Hitler (20-21 février 1942), LPGP, T1, p.314.

Le Pape dans Mit Brennender Sorge :
La Croix du Christ, encore que son nom seul soit déjà devenu pour beaucoup une folie et un scandale (I Cor., 1, 23), demeure pour le croyant le signe sanctifié de la Rédemption, l’emblème de la force et de la grandeur morales.

Nous vivons sous son ombre. Nous mourons dans son baiser.
Il faut qu’elle se dresse sur notre tombe, pour proclamer notre foi, pour témoigner de notre espérance dans la lumière éternelle.

Guerre d’extermination du nazisme contre l’Église du Christ

Ce que les chrétiens ont écrit contre l’empereur Julien, c’est à peu près du même calibre que ce que les Juifs ont écrit contre nous. […] On chantera un jour des actions de grâce au fascisme et au national-socialisme pour avoir préserver l’Europe d’une répétition du triomphe de la pègre.
Hitler (27 janvier 1942), LPGP, T1, p.247.

Si le danger n’avait pas existé que le péril rouge submergeât l’Europe, je n’eusse pas contrecarré la révolution en Espagne. Le clergé eût été exterminé.
Hitler (19-20 février 1942), LPGP, T1, p.310.

Le Pape dans Mit Brennender Sorge :
Quiconque est mû par l’esprit de Dieu a spontanément l’attitude qui convient, intérieurement et extérieurement, vis-à-vis de l’Église, ce fruit sacré de l’arbre de la Croix, ce don fait par l’Esprit de Dieu, le jour de la Pentecôte, au monde désorienté.

[…] Les expériences des dernières années mettent les responsabilités en pleine lumière : elles révèlent des intrigues qui dès le début ne visaient qu’à une guerre d’extermination.

Dans les sillons où Nous Nous étions efforcé de semer le germe d’une paix sincère, d’autres répandirent ? tel l’« inimicus homo » de la Sainte Écriture (Matth., XIII, 25) ? l’ivraie de la méfiance, du mécontentement, de la haine, de la diffamation, d’une hostilité de principe, soit voilée soit ouverte, alimentée à mille sources et agissant par tous les moyens, contre le Christ et son Église.

Sur un Dieu national ou une religion nationale

L’État doit demeurer le maître absolu.

[…] Contre une Église qui s’identifie avec l’État, comme c’est le cas en Angleterre, je n’ai rien à dire. Mais il est quand même impossible que l’on puisse éternellement assujettir l’humanité avec des mensonges.
Hitler (13 décembre 1941), LPGP, T1, p.140.

Le monde antique avait ses dieux et servait ses dieux. Mais les prêtres interposés entre les dieux et les hommes étaient des serviteurs de l’État, car les dieux protégeaient la Cité. En somme, ils étaient l’émanation d’une puissance que le peuple avait créée.
Hitler (21 octobre 1941), LPGP, T1, p.77.

Le Pape dans Mit Brennender Sorge :
– Seuls des esprits superficiels peuvent tomber dans l’erreur qui consiste à parler d’un Dieu national, d’une religion nationale ;
– seuls ils peuvent entreprendre la vaine tentative d’emprisonner Dieu, le Créateur de l’univers, le Roi et le Législateur de tous les peuples, devant la grandeur duquel les Nations sont « comme une goutte d’eau suspendue à un seau » (Is., XL, 15) dans les frontières d’un seul peuple, dans l’étroitesse de la communauté de sang d’une seule race.

[…] L’Église fondée par le Rédempteur est une, la même pour tous les peuples et pour toutes les Nations.

[…] Si des hommes qui ne sont pas même unis dans la foi au Christ viennent vous présenter la séduisante image d’une Église nationale allemande, sachez que ce n’est autre chose qu’un reniement de l’unique Église du Christ, l’évidente trahison de cette mission d’évangélisation universelle à laquelle, seule, une Église mondiale peut suffire et s’adapter.

Sur le panthéisme national-socialiste

Celui qui ne voit Dieu que dans un chêne ou un tabernacle, au lieu de le voir partout, n’est pas vraiment pieux.
Hitler (24 octobre 1941), LPGP, T1, p.84.

Je crois que celui qui contemple l’univers avec des yeux grands ouverts est l’homme le plus naturellement pieux : pas dans le sens où l’entendent les religions, mais dans le sens d’un accord intime avec les choses.
Hitler (11-12 juillet 1941), LPGP, T1, p.6.

Celui qui vit en communion avec la nature entre nécessairement en opposition avec les Églises. Et c’est pourquoi elles vont à leur perte — car la science doit remporter la victoire.
Hitler (14 octobre 1941), LPGP, T1, p.61-62.

Il est possible de satisfaire les besoins de la vie intérieure par une communion intime avec la nature, ou par la connaissance du passé.
Hitler (14 oct. 1941), LPGP, T1, p.60-61.

Le Pape dans Mit Brennender Sorge :
Quiconque identifie, dans une confusion panthéistique, Dieu et l’univers, abaissant Dieu aux dimensions du monde ou élevant le monde à celles de Dieu, n’est pas de ceux qui croient en Dieu.

Celui qui, dans une sacrilège méconnaissance des différences essentielles entre Dieu et la créature, entre l’Homme-Dieu et les enfants des hommes, ose dresser un mortel, fût-il le plus grand de tous les temps, aux côtés du Christ, bien plus, au-dessus de Lui ou contre Lui, celui-là mérite de s’entendre dire qu’il est un prophète de néant, auquel s’applique le mot effrayant de l’Écriture :
« Celui qui habite dans les cieux se moque d’eux » (Ps., 4).

Sur les fossoyeurs de l’Église

Quand le national-socialisme aura régné durant assez longtemps, il sera possible de concevoir une forme de vie différente de la nôtre. À la longue, le national-socialisme et la religion ne pourront plus coexister.
Hitler (11-12 juillet 1941), LPGP, T1, p.7.

Le temps coulera jusqu’au moment où la science pourra répondre à toutes les questions. Il n’est donc pas opportun de se lancer maintenant dans une lutte avec les Églises. Le mieux est de laisser le christianisme mourir de mort naturelle. Une mort lente a quelque chose d’apaisant. Le dogme du christianisme s’effrite devant les progrès de la science.
Hitler (14 octobre 1941), LPGP, T1, p.60.

Notre époque verra sans doute la fin de la maladie chrétienne, c’est une affaire de cent ans, de deux cents ans peut-être. Mon regret aura été, à l’instar de tel prophète, de n’apercevoir que de loin la terre promise.
Hitler (27 février 1942), LPGP, T1, p.332.

Le Pape dans Mit Brennender Sorge :
Nous en sommes certain, les ennemis de l’Église, qui s’imaginent que leur heure est venue, reconnaîtront bientôt qu’ils s’étaient réjouis trop vite et qu’ils avaient trop tôt pris en main la bêche du fossoyeur.

Sur l’éducation

Depuis l’âge le plus tendre, l’éducation sera donnée de telle sorte que chacun sache ce qui importe au maintien de l’État. Pour les hommes de mon entourage, qui comme moi ont échappé à l’emprise du dogme, je n’ai pas à craindre que l’Église leur mette le grappin dessus. Nous veillerons à ce que les Églises ne puissent plus répandre des enseignements en contradiction avec l’intérêt de l’État. Nous continuerons à affirmer la doctrine nationale-socialiste, et la jeunesse n’entendra plus que la vérité.
Hitler (14 octobre 1941), LPGP, T1, p.62.

Le Pape dans Mit Brennender Sorge :
Si l’on tente, par une éducation ennemie du Christ, de profaner ce tabernacle qu’est l’âme de l’enfant consacrée par le baptême, si de ce temple vivant de Dieu on veut arracher la lampe éternelle de la foi du Christ pour lui substituer la lumière trompeuse d’une contrefaçon de la foi qui n’a plus rien à voir avec la foi de la Croix, alors la violation spirituelle du temple est proche, alors c’est pour quiconque confesse le Christ un devoir
– de dégager nettement sa responsabilité de celle du camp adverse,
– de libérer sa conscience de toute coopération coupable à une telle machination et à une telle corruption.

On cherche à dévoyer les Chrétiens

Le Pape dans Mit Brennender Sorge :
Dans vos contrées, Vénérables Frères, retentissent des voix, dont le chœur va sans cesse se renforçant, qui invitent à sortir de l’Église.

Parmi les meneurs, il en est plus d’un qui, par leur position officielle, cherchent à faire naître l’impression que cette sortie de l’Église et l’infidélité qu’elle comporte envers le Christ-Roi constituent une preuve particulièrement convaincante et méritoire de la fidélité envers l’État d’aujourd’hui.

Une persécution larvée

Après cette guerre, je prendrai les mesures nécessaires pour rendre extraordinairement difficile le recrutement des prêtres.
Hitler (7 avril 1942), LPGP, T2, p.52.

Le Pape dans Mit Brennender Sorge :
Par des mesures de contrainte cachées ou apparentes, par l’intimidation, par la perspective de désavantages économiques, professionnels, civiques et autres, l’attachement des catholiques à leur foi, et en particulier la fidélité de certaines classes de fonctionnaires catholiques, est soumise à une pression aussi contraire au droit qu’à la dignité humaine.

Sur la morale sans le christianisme

Nul besoin de l’Église pour maintenir la morale dans le peuple. Cela est à la portée de tout homme d’État. Il suffit de transformer en lois imprescriptibles les conceptions morales reconnues traditionnellement par les éléments les plus sains de ce peuple — et de mettre la force au service de ces lois.
Hitler (9 avril 1942), LPGP, T2, p.61.

Le Pape dans Mit Brennender Sorge :
La consciencieuse observation des dix commandements de Dieu et des préceptes de l’Église (qui ne sont, eux, que des déterminations pratiques des règles de l’Évangile) est pour chaque individu une incomparable école de discipline individuelle, d’éducation morale et de formation du caractère, une école qui exige beaucoup, mais pas trop.

[…] Livrer la morale à l’opinion subjective des hommes, qui change suivant les fluctuations des temps, au lieu de l’ancrer dans la sainte volonté du Dieu éternel et dans ses commandements, c’est ouvrir la porte toute grande aux forces destructrices.

L’abandon, qui en résulte, des éternels principes d’une morale objective, pour l’éducation des consciences, pour l’ennoblissement de tous les domaines et de toutes les organisations de la vie, c’est un péché contre l’avenir du peuple, un péché dont les générations futures devront goûter les fruits amers.

[…] Aucune puissance coercitive de l’État, aucun idéal purement humain, si noble et si élevé soit-il en lui-même, ne sera jamais capable de remplacer en fin de compte les suprêmes et décisives impulsions que donne la foi en Dieu et au Christ.

Sur le droit naturel

Le droit est une invention humaine. La nature ne connaît ni le notaire ni le géomètre-arpenteur. Dieu ne connaît que la force. Le précepte que les hommes ont le devoir de s’entr’aimer, c’est de la théorie — et les chrétiens sont les derniers à le pratiquer.
Hitler (17 octobre 1941), LPGP, T1, p.69.

Que ce soit l’homme qui tue le tigre, ou que ce soit le tigre qui mange l’homme ! Le plus fort s’impose, c’est la loi de la nature. Le monde ne change pas, ses lois sont éternelles.
Hitler (23 septembre 1941), LPGP, T1, p.39.

Selon le droit naturel, le premier personnage de la nation devrait être le meilleur.
Hitler (11 novembre 1941), LPGP, T1, p.119.

Le christianisme est une rébellion contre la loi naturelle, une protestation contre la nature. Poussé à sa logique extrême, le christianisme signifierait la culture systématique du déchet humain.
Hitler (10 octobre 1941), LPGP, T1, p.51.

Le Pape dans Mit Brennender Sorge :
Nous pensons ici en particulier à ce qu’on appelle le droit naturel, inscrit de la main même du Créateur sur les tables du cœur humain (Rom., II, 14 sq) et que la saine raison peut y lire quand elle n’est pas aveuglée par le péché et la passion.

C’est d’après les commandements de ce droit de nature, que tout droit positif, de quelque législateur qu’il vienne, peut être apprécié dans son contenu moral et, par là même, dans l’autorité qu’il a d’obliger en conscience.
« Il est impossible qu’une chose soit utile si elle n’est pas en même temps moralement bonne. Et ce n’est point parce qu’elle est utile qu’elle est moralement bonne, mais parce qu’elle est moralement bonne qu’elle est utile. » (Cicéron, De officiis, III, 30.)

[…] ce qui est moralement défendu ne peut jamais servir au véritable bien du peuple.

[…] Mépriser cette vérité, c’est oublier que le véritable bien commun est déterminé et reconnu, en dernière analyse,
– par la nature de l’homme, qui équilibre harmonieusement droits personnels et obligations sociales, et
– par le but de la société, déterminé aussi par cette même nature humaine.

La société est voulue par le Créateur comme le moyen d’amener à leur plein développement les dispositions individuelles et les avantages sociaux que chacun, donnant et recevant tour à tour, doit faire valoir pour son bien et celui des autres.

De l’usurpation des mots sacrés

LA FOI

Si le peuple allemand perdait la foi, si le peuple allemand n’était plus disposé à se donner corps et âme pour survivre — alors le peuple allemand n’aurait plus qu’à disparaître !
Hitler (27 janvier 1942), LPGP, T1, p.250.

Celui qui veut agir doit prendre appui sur la foi, et la foi ne se trouve que dans le peuple. La grande masse est sans mémoire, elle va de l’avant avec l’ingénuité de l’innocence. Nous avons vu de quoi est capable un peuple qui est dirigé. En lui toutes les possibilités existent, pour le bien comme pour le mal. Le devoir du national-socialisme, tendre inébranlablement à ceci : que ce qu’il y a de meilleur dans le peuple puisse se développer sans cesse.
Hitler (21 septembre 1941), LPGP, T1, p.37.

[…] cette confiance en soi doit être donnée aux enfants de notre peuple par l’éducation dès leurs premières années. Tout le système d’éducation et de culture doit viser à leur donner la conviction qu’ils sont absolument supérieurs aux autres peuples. La force et l’adresse corporelles doivent leur rendre la foi en l’invincibilité du peuple auquel ils appartiennent.
Hitler, Mein Kampf, p.410.

Je crois aveuglément en mon peuple. Si je perdais cette foi, il ne nous resterait plus qu’à plier bagage.
Hitler (3-4 janvier 1942), LPGP, T1, p.166.

Le Pape dans Mit Brennender Sorge :
La « foi » consiste à tenir pour vrai ce que Dieu a révélé et propose par son Église à la croyance des hommes.
« C’est la conviction solide des choses invisibles. » (Hebr., XI, 1.)
La joyeuse et fière confiance dans l’avenir de son peuple, qui tient au cœur de chacun, signifie toute autre chose que la foi dans le sens religieux du mot.

LA GRÂCE

De même, dans l’avenir, ce n’est pas la grâce « raciste » qui donnera à notre peuple le sol, et avec lui les moyens d’existence, mais seule la puissance du glaive victorieux pourra l’obtenir.
Hitler, Mein Kampf, p.651.

IMMORTALITÉ — VIE ÉTERNELLE

Les dieux, pour les Romains, étaient des images familières. Il est assez difficile de savoir s’ils avaient une idée précise de l’au-delà. Pour eux, la vie éternelle s’incarnait dans les êtres vivants, et elle consistait en un perpétuel renouvellement. C’était là des conceptions assez proches de celles qu’on trouve chez les Japonais et les Chinois à l’époque où apparut chez eux la svastika.
Hitler (17 févrrier 1942), LPGP, T1, p.303.

Le Pape dans Mit Brennender Sorge :
Immortalité, dans le sens chrétien, veut dire : continuation de la vie de l’homme après la mort terrestre, dans sa personnalité individuelle, pour son éternelle récompense, ou pour son éternel châtiment.
Quiconque ne veut désigner par le mot : « immortalité » que la continuation ici-bas de la vie collective dans la durée de son peuple pour un avenir d’une longueur indéterminée, celui-là renverse et falsifie l’une des vérités fondamentales de la foi chrétienne, il touche aux bases mêmes de la conception religieuse de l’univers, qui exige un ordre moral dans le monde.

HUMILITÉ, LA FORCE ET L’HÉROÏSME

Qu’est ce que ce dieu qui ne prend plaisir qu’à voir les hommes s’humilier devant lui ?
Hitler (13 décembre 1941), LPGP, T1, p.141.

Tout comme dans l’islamisme, il n’y a aucune espèce de terrorisme dans la religion d’État japonaise, mais au contraire une promesse de bonheur. Ce terrorisme dans la religion procède en somme d’un dogme juif, que le christianisme a universalisé, et dont l’effet est de semer le trouble et la confusion dans les esprits. Il est visible que, dans le domaine de la foi, les représentations terroristes n’ont d’autre but que de détourner les hommes de leur optimisme naturel, et de développer en eux l’instinct de la lâcheté.
Hitler (4 avril 1942), LPGP, T2, p.36.

Si à Poitiers Charles Martel avait été battu, la face du monde eût changé. Puisque le monde était déjà voué à l’influence judaïque (et son produit, le christianisme, est une chose si fade !) il eût beaucoup mieux valu que le mahométisme triomphât. Cette religion récompense l’héroïsme, elle promet aux guerriers les joies du septième ciel… Animé d’un tel esprit, les Germains eussent conquis le monde. C’est le christianisme qui les en a empêchés.
Hitler (28 août 1942), LPGP-, T2, p.297.

En dix ans, nous aurons constitué une élite d’hommes dont nous saurons que nous pouvons compter sur eux à chaque fois qu’il s’agira de maîtriser de nouvelles difficultés. Nous tirerons de là un nouveau type d’homme, une race de dominateurs, des sortes de vice-rois.
Hitler (1er-2 août 1941), LPGP, T1, p.20.

Le Pape dans Mit Brennender Sorge :
On vous parle beaucoup de la grandeur héroïque, que l’on oppose consciemment et mensongèrement à l’humilité et à la patience évangéliques.

Pourquoi donc vous taire
– qu’il y a aussi un héroïsme des luttes morales ?
– que la conservation de l’innocence baptismale constitue un haut fait d’héroïsme qui devrait recevoir dans l’ordre religieux, et naturel aussi, l’hommage qu’il mérite ?

[…] L’humilité, dans l’esprit de l’Évangile, et la prière pour obtenir le secours de la grâce de Dieu peuvent parfaitement s’unir à l’estime de soi-même, à la confiance en soi, à l’héroïsme.

[…] Dans sa misérable façon de railler l’humilité chrétienne, comme une dégradation de soi-même et une attitude sans courage, l’odieux orgueil de ces novateurs se couvre lui-même de ridicule.

PÉCHÉ ORIGINEL

Le péché contre le sang et la race est le péché originel de ce monde et marque la fin d’une humanité qui s’y adonne.
Hitler, Mein Kampf, p.247.

Mais enfin les conquérants deviennent infidèles au principe, d’abord observé, en vertu duquel ils conservaient la pureté de leur sang ; ils commencent à s’unir aux indigènes leurs sujets et mettent fin ainsi à leur propre existence ; car le péché originel commis dans le Paradis a toujours pour conséquence l’expulsion des coupables.
Hitler, Mein Kampf, p.291.

RÉVÉLATION « de la primauté de la race »

Si j’essaie de juger mon œuvre, je dois considérer en premier lieu que j’ai contribué, dans un monde qui avait oublié cette notion, à faire triompher l’idée de la primauté de la race.
Hitler (21-22 octobre 1941), LPGP, T1, p.81.

Le Pape dans Mit Brennender Sorge :
« Révélation », au sens chrétien du mot, désigne la parole dite par Dieu aux hommes. Employer ce même mot pour les « suggestions » du sang et de la race, pour les irradiations de l’histoire d’un peuple, c’est, à coup sûr, créer une équivoque.

[La] Révélation ne connaît pas de complément apporté de main d’homme, elle n’admet pas davantage d’être évincée et remplacée par d’arbitraires « révélations » que certains porte-parole du temps présent prétendent faire dériver de ce qu’ils appellent le Mythe du Sang et de la Race.

Sur le culte de l’État

Le monde antique avait ses dieux et servait ses dieux. Mais les prêtres interposés entre les dieux et les hommes étaient des serviteurs de l’État, car les dieux protégeaient la Cité. En somme, ils étaient l’émanation d’une puissance que le peuple avait créée. L’idée d’un Dieu unique était impensable pour ce monde-là.
Hitler (21 octobre 1941), LPGP, T1, p.77.

Si l’on arrivait à éduquer la nation d’une solidarité fanatique entre compatriotes et de chacun d’eux à l’égard de l’État, le Reich allemand — comme ce fut déjà le cas mille ans après l’effondrement de l’Empire romain — serait la plus grande puissance d’Europe.
Hitler (20 mai 1942), LPGP, T2, p.130.

Le Pape dans Mit Brennender Sorge :
Quiconque prend la race, ou le peuple, ou l’État, ou la forme de l’État, ou les dépositaires du pouvoir, ou toute autre valeur fondamentale de la communauté humaine ? toutes choses qui tiennent dans l’ordre terrestre une place nécessaire et honorable, ? quiconque prend ces notions pour les retirer de cette échelle de valeurs, même religieuses, et les divinise par un culte idolâtrique, celui-là renverse et fausse l’ordre des choses créé et ordonné par Dieu : celui-là est loin de la vraie foi en Dieu et d’une conception de la vie répondant à cette foi.

Du droit de jouir sans entrave

La catastrophe pour nous, c’est d’être liés à une religion qui s’insurge contre toutes les joies des sens.
Hitler (1er-2 décembre 1941), LPGP, T1, p.139.

Pour mériter sa place dans l’histoire, notre peuple doit être avant tout un peuple de soldats. Cela implique à la fois des devoirs et des droits : une éducation d’une extrême rigueur, mais la possibilité de jouir sainement de la vie. Si un soldat allemand doit être prêt à donner sa vie sans discussion il doit avoir en revanche la liberté d’aimer sans entraves. La vie est ainsi faite que la guerre et l’amour vont de pair. Quant au petit bourgeois ergoteur et mesquin, qu’il se contente des miettes du festin ! Mais pour tenir le soldat dans l’appétence du combat, qu’on ne vienne pas l’importuner avec le précepte religieux qui recommande l’abstinence de la chair. Un homme à l’esprit sain ne peut que sourire quand un saint Antoine prétend lui ôter la joie la plus grande qui soit et l’inciter à « se mortifier lui-même à coups de cravache » !
Hitler (23 avr. 1942), LPGP, T2, p.74.

Le Pape dans Mit Brennender Sorge :
Nous répétons avec une gravité profonde : il ne suffit pas de faire partie de l’Église du Christ. Il faut encore être un membre vivant de cette Église, en esprit et en vérité.
Et ne le sont que ceux qui se maintiennent en état de grâce et vivent continuellement en présence de Dieu, dans l’innocence ou dans une sincère et effective pénitence.

Ne laissez pas la noblesse de cette irremplaçable liberté s’avilir dans l’esclavage du péché et de la sensualité.
Qui chante l’hymne de la fidélité à la patrie terrestre ne doit pas, par l’infidélité à son Dieu, à son Église, devenir un déserteur et un traître à sa patrie céleste.

  1. L’historien Pierre Blet dans son Pie XII et la Seconde Guerre mondiale, insiste sur ce point peu connu : « Du groupe qui, en janvier 1937, avait préparé l’encyclique Mit brennender Sorge, on retrouvait autour de l’ancien secrétaire d’État Pacelli les trois cardinaux Bertram, Faulhaber et Schulte. Éditions Perrin, col. Tempus, Paris, 1997, p.68. »
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