Histoire de la légitimité

L’histoire de la légitimité de 1883 à nos jours De la résistance au modernisme

L’histoire de la légitimité — et du mouvement légitimiste qui l’a portée — est celle de la fidélité à l’ordre naturel de la monarchie traditionnelle, et celle du refus de tout ralliement à la modernité : – 1830 et 1883 : refus du ralliement aux Orléans qui prétendent se faire rois en violant les Lois Fondamentales du Royaume. – 1892 : refus du Ralliement de l’Église à un régime républicain qui revendique

La révolution orléaniste de 1830 provoque la chouannerie légitimiste de 1832

La révolution orléaniste de 1830 Les causes de l’insurrection de 1832

La révolution orléaniste de 1830 renverse le roi légitime Charles X et propulse un rejeton de la branche cadette d’Orléans porté par la haute-finance : Louis-Philippe. Si dans la monarchie traditionnelle, le roi tient son autorité de Dieu et l’exerce pour le bien commun, l’usurpateur Louis-Philippe ne peut invoquer cette transcendance, aussi se réclame-t-il de la Révolution dont il revendique l’héritage et poursuit les persécutions contre l’Église et tous les

Cahiers politiques de l'UCLF. Une formation politique complète.

Cahiers politiques de l’UCLF L'A.B.C. du royalisme dans des Cahiers politiques

L’Union des Cercles Légitimistes de France propose déjà plusieurs outils de formation comme son Programme des études politiques. Les Cahiers politiques de l’UCLF constituent, eux-aussi, une synthèse de la pensée royaliste facilement utilisable dans le cadre d’un travail en cellule d’étude. Chaque année, de nouveaux textes illustrant la pensée légitimiste sont ainsi publiés dans ces Cahiers politiques. L’édition 2022 est maintenant téléchargeable.

Les révélations de Claire Ferchaud à Loublande ne sont pas reconnus par l’Église et font l'objet de condamnations.

Réprobation pontificale des prétendues révélations de Claire Ferchaud à Loublande Le décret du 12 mars 1920 du pape Benoît XV

Durant la Première Guerre mondiale, Claire Ferchaud prétend que Jésus-Christ demande au Président de la République d’apposer le Sacré-Cœur sur le drapeau tricolore de la Révolution pour sauver la France et la faire triompher de ses ennemis. D’illustres voix du catholicisme s’émeuvent de ces « chimères » à relent millénariste comme les dénonce le très traditionaliste cardinal Billot. Pourtant l’engouement pour la voyante de Loublande et ses messages prend de

Introduction à la légitimité, un éclairage actuel sur les enjeux politiques et civilisationnels.

Diffuser le livre « Introduction à la légitimité » Plus qu'un livre, une arme

Pour beaucoup, le bon gouvernement dépend principalement des bonnes dispositions de son chef. Ceux-là recherchent le « saint roi », le « saint président », aussi, en attendant l’homme providentiel, se contentent-ils de voter pour le « moins mauvais ». Plus rares sont ceux qui se posent la question cruciale du régime, de la forme de l’institution politique… [la suite ici]

Leçon de démocratie

Leçon de démocratie, par Aristophane et George Frêche Les électeurs sont des « cons » à séduire

Si dans la pensée traditionnelle, l’objet de tout bon gouvernement est de rendre les hommes vertueux afin de réaliser le bien commun, tel n’est point le cas de la démocratie. De l’Antiquité à nos jours, dans un souverain mépris du peuple, celle-ci a toujours promu structurellement le vice et la médiocrité. Aussi, la critique hilarante de la démocratie athénienne par Aristophane résonne-t-elle curieusement avec la pensée politique du socialiste Georges

Démocratie, bourgeoisie et haine de soi

Démocratie, bourgeoisie et haine de soi Commentaires de Léo Ferré, François Furet et Hannah Arendt

Par ce titre Démocratie, bourgeoisie et haine de soi, il ne s’agit pas de stigmatiser la bourgeoisie en tant que classe sociale à la manière anarchiste ou socialiste. En effet, quand elle est ordonnée au bien commun, cette classe a sa place et son utilité comme n’importe quelle autre classe de la société. Nous parlerons ici du régime bourgeois mis en place en France à la Révolution de 1789. Cette

Trois idées du nationalisme

Trois idées du nationalisme au XIXe siècle, par Guy Augé Le nationalisme pour remplacer le droit divin

Il ne faudrait pas confondre le devoir d’aimer son pays — naturel à tout être humain — avec le nationalisme. Ce dernier plonge ses racines dans la Réforme protestante qui fait exploser la chrétienté en royaumes dotés d’Églises nationales autonomes. Mais c’est à la Révolution française —  avec la laïcisation des esprits — que cette idéologie opère une substitution de la souveraineté ultime de Dieu avec celle de la nation.

Principes de légitimité

Principes de légitimité Aux sources de la politique

En cette époque sombre où la modernité dévoile désormais sans masque ses ambitions totalitaires, en ces temps de détresse où s’étend le spectre des guerres civiles, les principes de légitimité — fondés sur la loi naturelle — se dressent comme une bannière d’espoir et de paix. « Légitimistes de tous les pays, unissez-vous ! », voilà qui pourrait résumer l’ambition du site de la Charte de la légitimité Vexilla Regis