EXERCICES

Le combat légitimiste

Le combat légitimiste Gouvernement par autorité contre gouvernement par opinion

Bien peu de personnes ont conscience de l’extrême fragilité des fondements théoriques des sociétés révolutionnaires, et si ces constructions artificielles semblent pourtant triompher sur toute la planète, c’est que jusqu’ici, elles ont réussi à fuir ou à étouffer le débat théorique où elles se savent vulnérables. En effet, pour détourner les hommes des questions essentielles […]

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Qu’est ce que le légitimisme ? Le légitimisme repose sur un ordre successoral indépendant des intérêts personnels et des débats d’idées.

Qu’est ce que le légitimisme ? La légitimité, ou l’écologie en politique, par Jean-Louis Maral (1980)

Qu’est ce que le légitimisme ? Le légitimisme repose sur un principe extrêmement simple : un ordre successoral indépendant des chocs et des pressions des intérêts personnels et des débats d’idées. Hétérogène aux idéologies, il ne peut, sans se renier, s’en adultérer. Les « fusions » de type orléaniste prétendant réconcilier le principe légitimiste avec

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Nietzsche, ou l’esprit de subversion. La fausse anti-modernité d’un élitiste individualiste ; certes anti-démocrate, mais anti-chrétien.

Nietzsche, ou l’esprit de subversion La fausse anti-modernité d’un élitiste individualiste, par Jacques Galy (1976)

Des philosophes comme Éric Vœgelin1 ont montré que la modernité s’identifie à un processus de divinisation de l’homme, à son autonomie de la tutelle divine, et la croyance progressiste en un sens de l’histoire. Ainsi, par sa seule volonté, l’homme pourrait être acteur de son progrès vers l’homme-dieu et se faire l’artisan de l’établissement d’un

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Portrait du révolutionnaire par Richard Hooker et Éric Vœgelin. Comment peut-on être embrigadé dans un mouvement irrationnel et subversif ?

Portrait du révolutionnaire par Richard Hooker et Éric Vœgelin Irrationnelle modernité

Le philosophe politique Eric Voegelin (1901-1985) est un spécialiste des régimes totalitaires qu’il décrit comme le terme du processus gnostique d’autonomie de l’homme. Parmi les différentes manifestations historiques du mouvement gnostique, il s’intéresse ici à la révolution puritaine qui ébranle l’Angleterre du XVIIe siècle. À partir de la fin du XVIe siècle, ce pays subit

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Les principes des sociétés de pensée et de la modernité

Les principes des sociétés de pensée et de la modernité Augustin Cochin et la genèse de la Révolution (IV)

Impossible de comprendre la Modernité et la Révolution qui l’a enfantée sans connaître les principes des sociétés de pensée. En forgeant l’opinion publique, ces sociétés construisent — à l’insu du plus grand nombre — la société totalitaire décrite dans le Contrat social de Jean-Jacques Rousseau. À tous les échelons d’un pays, elles distillent : –

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On tanne la peau humaine sous la Révolution Française

On tanne la peau humaine sous la Révolution Française Le corps humain marchandise

De l’Ancien Testament jusqu’à l’Antigone du Païen grec Sophocle, inhumer les morts constitue un devoir, une prescription divine. En effet, de même que l’âme, le corps est une partie de notre humanité, aussi les civilisations les plus primitives marquent-elles du respect envers les dépouilles des défunts. Pour le révolutionnaire matérialiste, l’homme n’est que matière :

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La Monarchie de France par Claude de Seyssel (1519), ou l'institution politique française analysée par un étranger.

La Monarchie de France par Claude de Seyssel (1519) Ou l’harmonie sociale

Au moment où Claude de Seyssel écrit sa Monarchie de France, cet étranger, ancien conseiller du roi de France, est archevêque de Turin. Retiré de toute vie politique, il nous livre un témoignage irremplaçable sur les principes qui animent une institution qu’il admire, sur le souci constant des souverains d’établir le bien commun, cette harmonie

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L’abolition de l’homme par C.S. Lewis. Quand le philosophe — et auteur des Chroniques de Narnia — dévoile l'horizon de la modernité.

L’abolition de l’homme par C.S. Lewis (1898-1963) Ou l’horizon de la modernité

La prophétie de l’abolition de l’homme par C.S. Lewis mettant en cause l’éducation moderne est d’une brûlante actualité. En effet, l’éducation traditionnelle a pour finalité de montrer à chacun comment se conformer à notre nature, à cette loi naturelle que Lewis — l’auteur du Monde de Narnia — choisit d’appeler : le Tao. « Seul le

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Des diverses espèces de lois par saint Thomas d’Aquin

Des diverses espèces de lois par saint Thomas d’Aquin Somme théologique Ia-IIæ, La loi, question 91

À l’opposé des Modernes qui cherchent à soumettre le réel à leur volonté de domination, les Anciens s’appliquent à saisir l’intelligibilité de la Création pour se conformer à la volonté de son Auteur. En effet, Dieu gouverne le monde par la loi éternelle qui est Sa volonté. Dans la créature raisonnable, la loi naturelle participe

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De la politique génocidaire de la 1re République française, par le communiste Gracchus Babeuf (1760-1797) Chapitre VII du livre « Du système de dépopulation ou la vie et les crimes de Carrier »

Fils de la modernité, le droit-de-l’hommisme provoque son premier génocide en 1793. Au nom de la liberté et de l’égalité, la Première République invente l’archétype du régime totalitaire : le gouvernement par la terreur. Ivres d’idéologie, des comités bureaucratiques décrètent à demi-mots des « populicides » en prenant soin de ne jamais s’impliquer directement et

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